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Aujourd’hui, mercredi 24 septembre 2014, Air Pays de la Loire enregistre des niveaux élevés pour cette période de l’année en particules fines PM10 sur la région. Ces derniers sont en partie liés aux rejets du volcan islandais Bárðarbunga (dioxyde de soufre et particules).

Cette étude apporte des éléments sur l’évolution à moyen terme des émissions et concentrations de polluants sur la zone Nantes - Saint-Nazaire.

Les résultats de cette étude, réalisée en période hivernale en 2014, mettent en évidence un impact de l’activité de la zone aéroportuaire qui reste limité à la plateforme.

Cette campagne a été menée dans deux salles de classe lors d’une période hivernale et une période estivale. Elle a mis en évidence le respect des valeurs guides pour le formaldéhyde et le benzène.

Ce document dresse le bilan de qualité de l’air 2013, et présente également les grands projets menés par Air Pays de la Loire pendant cette année : les travaux réalisés dans le cadre de l’élaboration du Plan de Protection de l’Atmosphère (PPA), la poursuite des modélisations de la qualité de l’ai…

L’étude menée confirme les observations des campagnes précédentes et fait ressortir des concentrations moyennes en benzène du même ordre de grandeur que celles mesurées dans l’environnement d’autres centres de raffinage français.

Les résultats de cette campagne de surveillance de la qualité de l’air sont proches de ceux des années précédentes. Il n’a pas été noté pendant la période de mesure d’impact significatif des émissions de l’établissement de Nantes Métropole Alcéa sur les niveaux de polluants dans l’air ambiant.

Du 7 au 15 mars, 21 procédures d’information et 7 procédures d’alertes ont été déclenchées pour la région des Pays de la Loire lors de l’épisode de pollution par les particules fines PM10.

En 2013, la campagne de surveillance réalisée dans l’environnement d’Arc-en-Ciel n’a pas mis en évidence d’influence du site sur les niveaux de polluants en fonctionnement normal durant la période de mesure.

Cette seconde phase de mesures a mis en évidence l’impact positif des travaux de rénovation (matériaux peu émissifs, mise en place d’une ventilation) sur les teneurs en formaldéhyde et benzène (polluants ‘traceurs’ de la qualité de l’air intérieur).